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Les découvertes

Mercredi 25 avril 2007 à 19 heures
Thomas Pitiot

Thomas Pitiot, 29 ans. Le bonhomme vit toujours en Seine-Saint-Denis, entre Dugny et Aubervilliers. Une scolarité jusqu’à la fac de Saint-Denis (licence de sciences politiques) ainsi que la découverte et l’apprentissage de différentes disciplines artistiques. En marge des institutions académiques et des conservatoires, plutôt les deux pieds dans l’associatif, il taquine le piano, la guitare, la batterie, le chant ; dès 14 ans, ses premières scènes rock, puis funk, reggae, rap, chanson. Thomas ne cloisonne rien, c’est un casseur de frontières.
En 2001, avec trois amis, ils créent T’Inquiète Productions et c’est le véritable lancement de sa carrière « chanson ».
En 2002, tout s’accélère. Premier album, Le Tramway du Bonheur, reçu très chaleureusement par le public et les professionnels.
Depuis, plus d’une centaine de concerts lui ont permis de faire sa place dans l’univers de la nouvelle scène chanson française. Le Café de la Danse, Le Sentier des Halles, l’Européen, le Festival de Bourges, les Francofolies de La Rochelle, la Fête de l’Humanité, le Festival de Marne, le Festival Mythos de Rennes, Le Festival Chant’Appart, etc. Parallèlement, il poursuit sur d’autres fronts : résidence, ateliers d’écriture, création originale avec des musiciens d’Afrique de l’ouest, etc.
Cette vie d’enrichissement humain et culturel est un moteur d’inspiration et de création pour lui. Trois années ont passé depuis son Tramway du Bonheur ; la nouvelle station s’appelle La Terre à Toto et de nombreux voyageurs commencent déjà à s’impatienter.
 
Au détour de ses mélodies, on retrouve des accents de son cercle de poètes disparus : Boby Lapointe, Félix Leclerc, Claude Nougaro, Georges Brassens, Jacques Brel et François Béranger… Thomas sait d’où il vient. Il est leur enfant, il n’y a pas à en douter. Mais il sait aussi où il va. Il ne les oublie pas. Ni ses pères, ni ses pairs. 

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Jeudi 26 avril 2007 à 19 heures
Syrano

Le jeune chartrain de 25 ans, auteur, compositeur, interprète, illustrateur, a créé un univers particulier où des jouets mutilés s’animent pour devenir des musiciens, fantômes de l’enfance, miroir pour nos angoisses. Dans un décor de chambre d’enfant, un Pierrot éméché joue de l’accordéon, un Arlequin en camisole gratouille d’un air inquiétant, deux poupées de porcelaine font pleurer leurs violons, et un Monsieur Loyal nous emporte dans une farandole endiablée. Entre fable enfantine et poésie macabre, Syrano mêle habilement machines et formation acoustique, phrasé rap et chant populaire. Il nous emmène dans un voyage introspectif, soutenu par une écriture profonde et fine. Son oeuvre puise sa diversité dans l'histoire de Syrano. Enfant du milieu ouvrier, il est l'aîné d'une fratrie de 6 bambins. Il crée depuis plus de 12 ans et commence à mettre en forme des chansons en faisant du rap. Le hip-hop étant une musique contestataire et brute, il s'y retrouve, autodidacte bercé par la musique black, la chanson et la littérature du 19ème. Dans un collectif d'artiste nommé Exkalibur, il fait ses armes sur scène et pense à la professionnalisation. On le retrouve vite partageant les plateaux avec la Rumeur ou Saïan Supa Crew ou Zebda, mêlant déjà la poésie aux rythmes urbains. En travaillant sur son album de duos auto-produit en 2001, il ouvre sa musique à d'autres styles musicaux et décide de travailler définitivement avec des instrumentistes. Cela coïncide avec la rencontre d'un groupe de chanson et il répète désormais avec deux violons, une guitare un accordéon et son acolyte Cherzo, qui le suit depuis le début.
Syrano est devenu en peu de temps l'artiste incontournable de la Région Centre et une valeur montante de la scène nationale et sort aujourd’hui son premier album Musiques de Chambre sur lequel on retrouve quelques invités fidèles « La Rue Ketanou » et Simon de « Debout Sur le Zinc » avant de partir en tournée dans toute la France.

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Vendredi 27 avril 2007 à 19 heures
Le Salamandre

Un nom qui sonne pour un coup de cœur du Printival !

Salamandre (n.f. lat. Salamandra; du gr.)

1. Amphibien Urodèle de l’Europe, ayant la forme d’un lézard.

2. Le Salamandre (Nom déposé).
Personnage masculin chanteur et musicien, pseudonyme de Philippe Segal. Doté d'une volonté de séduction auprès des foules qui youpi-clap et tambourinent au son d’une musique
fraîche, il aspire à conter des histoires humaines drôles, profondes ou les trois à la fois (Voir Alain Souchon, Affaire Luis Trio, Vincent Baguian). S’exprime habituellement sur scène locale (Balle au bond, Sentier des Halles, Théâtre de l’Île St-Louis) devant un public toujours plus nombreux grâce à Machin qui connaît Machine qui vient avec Truc. Désire ardemment se faire connaître grâce à tous ceux qui apprécient cette musique, ces mots et cette originalité.

3. Poêle à combustion lente.

Un univers sucré-poivré de chanson pop-folk avec de vrais morceaux de français dedans avec : Philippe Segal - Chant, energie, charme, humour, Hervé Morisot - Piano, Guitare en bois, electrique, à moteur rien ne l'arrête, Belinha Lopes - Violon et choeur à l'ouvrage, Philippe Henner - Basse, contrebasse, strip-tease, Benjamin Jouet - Batterie, café, l'addition

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Vendredi 27 avril 2007 à 22 heures
Bonaldi Group

Ancien archetier à l'école de lutherie de Mirecourt. Philippe Bonaldi monte un café théatre dans le Gers (La Fenière), cuisine à travers le monde en globe cooker puis developpe une société de "catering" convivial où il plante son décor en restauration sur des tournées en France et en Europe.

Il voyage avec sa cuisine en compagnie de STING, JOE COCKER, JAMES BROWN, JOE SATRIANI, etc. ainsi que sur des évènementiels et de nombreux tournages de cinéma.

La cuisine ressemble étrangement à la musique. Dans le choix des épices et des saveurs recherchées. Le lien entre l'art gastronomique et l'art du texte et de la musique fait partie intégrante du personnage.

Après 12 ans de cuisine en coulisse, Philippe Bonaldi passe du côté scène. Les recettes le suivent. Ses deux albums sont nourris de voyages et de rencontres. En studio, il fonctionne avec des invités de grand choix. Francis Cabrel fait partie de son dernier album "Norpech".

Spectacle tout public.

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Samedi 28 avril 2007 à 19 heures
Olivier l'Hôte

Olivier L’Hôte, artiste hors du temps et des modes, cousin de William Sheller pour les arrangements de cordes est accompagné sur scène par 4 musiciens. D’une voix granulée, Olivier nous conte mille et une fantaisies d’un ton badin-coquin, le cocktail est détonnant : des mélodies entêtantes, mêlées de poésie, et de chevauchées
fantastiques. Tout autour, les trois cordes d’or déploient leur univers chaleureux, et interpellent parfois le chanteur pour lui donner la réplique. Autour de lui, les trois cordes d’or déploient leur univers chaleureux : le violoncelle est troublant, le violon scintillant, la contrebasse subtile. Sans oublier de drôles de percussions jouant sous le vent des émotions.

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Samedi 28 avril 2007 à 22 heures
Lady Palavas

Construit autour d’anciens musiciens de plusieurs formations montpelliéraines comme Otis Wood, Odeline Fion ou Ego, Lady Palavas est un groupe qui a tranquillement avancé en quartet avant de recruter un claviériste pour étoffer son premier album. Forts d’influences allant de la pop des sixties au rock en passant par la bossa, le disco ou le funk, Caroline Febvre (chant), Franck Sales (guitares), Philippe Gaubert (batterie), Francis Miche (basse) et Manu Rieunier (claviers) ont fait le choix de l’easy listening insouciante et des textes légers avec une pointe d’autodérision et une autre de lucidité. Habitué des concerts dans leur fief du Rockstore, le groupe s’est néanmoins expatrié jusqu’à Paris pour y séduire la Flèche d’Or et a postulé pour les scènes découvertes du festival Le Mans Cité Chanson 2006 et du Printemps de Bourges 2007 … Soutenu par un label qui a très vite craqué pour sa musique, Lady Palavas s’apprête désormais à partir à la conquête de l’hexagone dans son ensemble !

Les Montpelliérains mettent à profit leurs expériences diverses pour créer une musique à la fois riche, complète et ludique qui prête à sourire par ses bons jeux de mots et son sens de l’humour exacerbé mais qui force également le respect par une construction à la fois aérienne et solide. Sans aucune prétention, Lady Palavas fait des chansons populaires qui ne cherchent rien d’autre que le fait déjà important d’apporter du plaisir et de faire chanter les gens, que ce soit en voiture, au bureau ou simplement sous la douche. Véritable machine à remonter le temps, cette bande de trentenaires nous ramène au bon vieux temps des yéyés avec des morceaux qui rappellent autant Antoine ou Christophe que Françoise Hardy ou Jane Birkin, des titres au pouvoir de séduction insensé comme « Agent secret », « Hypocondriaque », « Festival » ou « Star » … Séduisant sur album, c’est pourtant sur scène que Lady Palavas prend toute sa dimension, quand le côté visuel vient renforcer la musique en lui offrant un mix-vidéo mais aussi des décors venus du grand creuset culturel des sixties ! Néoréalistes sclérosés et autres constipés de l’esprit, s’abstenir …

 
Dimanche 29 avril 2007 à 19 heures
K

Né le 6 janvier 1976, Nicolas Michel suit sa scolarité à l’Ecole R. Steiner de Lausanne. Un bac scientifique en poche, il part pratiquer l’art dramatique à l’Ecole du Théâtre National de Chaillot à Paris. De retour en Suisse, il goûte aux différents mondes du spectacle, s’intéresse au travail social et à la méditation vipassana. Parallèlement, il compose une trentaine de chansons, et enregistre un 1er disque avec un groupe qui se sépare au printemps 2003.

Cette aventure musicale aurait pu s'arrêter là sans l'intervention d'un des fans du groupe, âgé de 1 an et demi. En effet, le neveu du chanteur n'a de cesse de brandir leur disque en criant : "K !".K, bien sûr, car comment prononcer Nicolas quand on parle à peine ?
Acceptant ce nouveau baptême, K reprend sa guitare pour un premier concert solo remarqué sur la scène du Bleu Lézard à Lausanne.
Dès lors les rencontres et les projets s'enchaînent avec de nombreux concerts en solo ou en groupe, qui passent par la Maroquinerie de Paris (FR), le festival Mars en Chansons (BE), le paléo festival (ch) ou, plus récemment, le Printemps de Bourges (fr), le festival "Alors chante !" de montauban (fr) et les Francofolies de la rochelle (fr).

En septembre 2005, le public découvre le premier album studio de k : "l'arbre rouge" qui est distribué en suisse par disque office et aujourd'hui distribué en France, est depuis largement diffusé sur les ondes France Inter entre autres.

Cet arbre s'enracine dans la générosité exceptionnelle d'une multitude de jardiniers tous autant passionnés qu'ils soient musiciens, ingénieurs, graphistes, managers, photographes, journalistes, directeurs de salle et surtout public. Ce disque porte leurs fruits !

Les concours des Nouvelles Scènes (ch) et du festival "alors chante !" (fr) ont vu K remporter respectivement le prix de la FCMA et le "Bravo des pros" lui offrant un accompagnement quatre étoiles pour ses premiers concerts internationaux et la préparation d'une sortie française de "l'arbre rouge". on se réjouit !

Parallèlement, K prépare un voyage en Afrique francophone qui devrait voir la naissance de l'album en public "Printemps africain".

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